Origine du gala

C’est en 1969, à la suite du décès du premier contrôleur de la Galerie sportive de Québec, M. J.-Émile Dion, que les membres de cet organisme remettent pour une première fois le trophée J.-Émile Dion à l’athlète par excellence de la région. C’est l’adepte de canoë-kayak, Bernard Turcot, qui reçoit cet honneur. En 1970, le trophée est attribué au joueur de tennis, Jacques Giguère. À compter de 1971, l’Association des sportifs du Québec se joint à la Galerie sportive pour assurer la continuité de cet événement.

C’est, par ailleurs, à compter de cette édition que la formule que l’on connaît aujourd’hui, soit de nommer des athlètes finalistes dans une dizaine de catégories et de décerner différents prix, est adoptée par les organisateurs de cette soirée. À partir de cette édition, on peut affirmer sans trop se tromper que le Gala de l’athlète devient l’événement sportif de l’année dans la région. Ce titre, l’organisation le mérite tant par la reconnaissance officielle des qualités qui font d’un athlète une source d’émulation que par l’occasion unique de rassembler sous un même toit tous les intervenants de la région dans le domaine sportif.

C’est en 1982 que les organisateurs du Gala décident d’ajouter trois nouvelles catégories, celles de l’équipe, de l’entraîneur et du bénévole de l’année. La corporation Sports internationaux de Québec prend alors la relève pour l’organisation de ce gala. La catégorie Officiel de l’année devait suivre quelques années plus tard. Depuis toutes ces années, plusieurs groupes de bénévoles se sont succédé pour souligner les performances des athlètes, entraîneurs, officiels et bénévoles qui font des régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches, un terreau de l’excellence sportive au Québec.